Je croyais que c’était la norme…

Quand l'ordinaire était extraordinaire

Le goût de l'enfance, une saveur unique.

Quand j’étais petit, je passais mes vacances à la ferme de mes grands-parents.

Je ne le savais pas encore, mais je vivais ce que plusieurs appellent aujourd’hui un rêve éveillé. Un luxe invisible à mes yeux d’enfant.

Je croyais que c’était normal de choisir chaque jour ce qu’on allait manger.

De goûter aux plats en préparation et de me faire dire : “Vas-y, dis-moi ce que t’en penses, mon p’tit chef.”

Je croyais que c’était normal de courir dans les champs, de parler aux veaux en leur tendant du foin, de nourrir les poules et de nommer les chats un par un.

Je croyais que tous les enfants vivaient entourés d’amour, dans un royaume où l’on te regarde comme un roi.

Pendant que d’autres enfants étaient à la garderie, moi, j’étais dans un jardin rempli de vie : des fraises, des framboises, des groseilles, des gadelles et cette salade de céleri-rave dont je me souviens encore.

Je vivais au rythme du soleil et des casseroles. Entre le pain frais, le fromage suisse, les confitures toutes meilleures les unes que les autres, les potages si savoureux et le rôti de bœuf farci à l’ail.

Ma grand-mère, je l’appelais grand-maman d’amour et c’est d'ailleurs encore sa signature dans nos lettres.

Elle me parlait des fleurs avec passion, cuisinait avec amour, écoutait avec une rare intelligence du cœur.

Et mon grand-père, cet homme de peu de mots mais de grande sagesse, disait toujours : “Tout ce que grand-maman fait, c’est bon.”

C’était ça, l’environnement dans lequel j’ai grandi. Un espace de gratitude vivante. Un jardin où l’amour, l’écoute et la beauté étaient la base.

Plus tard, j’ai compris que ce n’était pas la norme. Que vivre une telle abondance relationnelle, c’était un privilège rare. Et depuis ce jour, j’ai une mission : faire vivre cette qualité de présence et d’amour autour de moi.

Si je pouvais résumer mon enfance en une image, ce serait un pommier en pleine maturité. Où chaque fruit est un moment doux et chaque branche, une relation nourrie.

On croit souvent que la richesse, c’est ce qu’on possède. Mais j’ai appris très tôt que la vraie richesse c’est la présence,  c’est ce qu’on goûte, ce qu’on partage, ce qu’on offre et ce qu’on reçoit… dans un simple repas, une marche dans un champ, un regard rempli d’amour.

Si toi aussi tu souhaites vivre quelque chose qui sort de la norme, je t’invite à découvrir Connect Co.

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C’est quoi l’Expérience Connect Co?
Réseauter, ça s’apprend. Et ça peut même être agréable.